Panier 0 Produit Produits (vide)
Aucun produit
Livraison gratuite ! Livraison
0,00 € Total
Produit ajouté au panier avec succès
Quantité
Total
Il y a 0 produits dans votre panier. Il y a 1 produit dans votre panier.
Total produits TTC
Frais de port (HT) Livraison gratuite !
Total TTC
En savoir plus
Parmi les pièces inédites retrouvées en 2021, ce volume présente la
première carte postale envoyée par Louis Destouches à son oncle Guillou,
dès son arrivée à Diepholz, où son père l’a accompagné. Il allait y passer
une année scolaire : carte postée le 25 août 1907, cinq jours avant la
première des 39 lettres qu’il adressera à ses parents depuis cette ville du
nord de l’Allemagne. Cette découverte est due à Jean Van Der Stegen et
Laurent Simon, ainsi que la carte postale de Fernand Destouches à Louis
Guillou, postée la veille, 24 août, à Aix-la-Chapelle, en route pour Diepholz,
que nous publions à la suite.
Vers 1934, Céline a rencontré une jeune danseuse russe, Marie
Tchernova : Marc Laudelout présente ici un ensemble jusqu’à présent
inconnu de dix lettres ou billets, d’un ton amical et familier, adressés par
Céline entre 1935 et 1941, à cette danseuse installée à Bruxelles : elle y
fit carrière au théâtre de la Monnaie. Il proposa à « Moussia » son ballet,
Voyou Paul. Brave Virginie, sans succès. Dans cette correspondance, se
trouve une rare carte postale postée à Gibraltar le 12 janvier 1940.
Parmi les livres dédicacés, la trouvaille de l’année est sans conteste
l’impressionnante série de six envois à Marie Bell passés en vente. Des
relations de Céline avec la célèbre actrice, n’étaient connus jusqu’à présent
que les échanges épistolaires, avant et après la guerre. Les dédicaces,
toutes d’un grand intérêt, couvrent une bonne partie de l’oeuvre de
l’écrivain : de Voyage au bout de la nuit à D’un Château l’autre. Les plus
remarquables sont celles portées sur Guignol’s band, l’une sur un exemplaire
de tête, l’autre sur un exemplaire du service de presse, dont le texte
est banal, mais accompagné d’une caricature inattendue.
Suivent de nouveaux documents sur Georges Geoffroy par Gaël
Richard, la deuxième partie de la correspondance Pierre Monnier-Albert
Paraz, une étude de Yoann Loisel sur « le traumatisme de la Grande
Guerre », et les chroniques habituelles.
400 pages non coupées imprmiées sur bouffant crème 80 g
40 euros
978-2-35548-165-9
première carte postale envoyée par Louis Destouches à son oncle Guillou,
dès son arrivée à Diepholz, où son père l’a accompagné. Il allait y passer
une année scolaire : carte postée le 25 août 1907, cinq jours avant la
première des 39 lettres qu’il adressera à ses parents depuis cette ville du
nord de l’Allemagne. Cette découverte est due à Jean Van Der Stegen et
Laurent Simon, ainsi que la carte postale de Fernand Destouches à Louis
Guillou, postée la veille, 24 août, à Aix-la-Chapelle, en route pour Diepholz,
que nous publions à la suite.
Vers 1934, Céline a rencontré une jeune danseuse russe, Marie
Tchernova : Marc Laudelout présente ici un ensemble jusqu’à présent
inconnu de dix lettres ou billets, d’un ton amical et familier, adressés par
Céline entre 1935 et 1941, à cette danseuse installée à Bruxelles : elle y
fit carrière au théâtre de la Monnaie. Il proposa à « Moussia » son ballet,
Voyou Paul. Brave Virginie, sans succès. Dans cette correspondance, se
trouve une rare carte postale postée à Gibraltar le 12 janvier 1940.
Parmi les livres dédicacés, la trouvaille de l’année est sans conteste
l’impressionnante série de six envois à Marie Bell passés en vente. Des
relations de Céline avec la célèbre actrice, n’étaient connus jusqu’à présent
que les échanges épistolaires, avant et après la guerre. Les dédicaces,
toutes d’un grand intérêt, couvrent une bonne partie de l’oeuvre de
l’écrivain : de Voyage au bout de la nuit à D’un Château l’autre. Les plus
remarquables sont celles portées sur Guignol’s band, l’une sur un exemplaire
de tête, l’autre sur un exemplaire du service de presse, dont le texte
est banal, mais accompagné d’une caricature inattendue.
Suivent de nouveaux documents sur Georges Geoffroy par Gaël
Richard, la deuxième partie de la correspondance Pierre Monnier-Albert
Paraz, une étude de Yoann Loisel sur « le traumatisme de la Grande
Guerre », et les chroniques habituelles.
400 pages non coupées imprmiées sur bouffant crème 80 g
40 euros
978-2-35548-165-9