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La Mort à Venise de Thomas Mann. « Un cas de pédérastie chez un artiste vieillissant », la transposition du dernier amour de Goethe, la victoire de Dionysos sur Apollon, la tragédie de la maîtrise, mais aussi l’histoire de la démission d’un grand intellectuel devant « les privilèges du Chaos » : en 1938, Thomas Mann évoquait le « national-socialisme de La Mort à Venise anticipé de vingt ans ».